L’homme qui plantait des arbres est un récit écrit par Jean Giono en 1953. Dans ce court texte, Jean Giono évoque principalement l’histoire d’un berger nommé Elzéard Bouffier. Bien que ce soit une fiction, le récit parvient toujours à passer un message important au lecteur et à croire aux passions du berger envers la forêt. Dans cet article, vous pouvez lire en détail, le Résumé de L’homme qui plantait des arbres.

Résumé de L’homme qui plantait des arbres

Le narrateur qui est une personne anonyme parcourt une randonnée entre la Provence et les Alpes. Il campe autour d’un squelette de ville abandonné, plus précisément au centre d’une désolation où la vie a jadis existé. Il reprend sa route après un repos. Ensuite, il rencontre un berger silencieux surnommé Elzéard Bouffier. Il l’invite à dormir chez lui.

En fait, le narrateur est très impressionné par la tenue de la demeure, construite en pierre, en bon état et différente de l’abri des bergers. Son estime à son égard augmente encore quand il découvre la propreté du logis, mais surtout combien sereine et calme est la vie de l’homme solitaire en compagnie de son troupeau et de son chien.

Quand la nuit tombe, le narrateur observe bien le berger en train d’occuper, nettoyer, classer, sélectionner et examiner un tas de glands. Par la suite, il en choisit cent pour mettre de côté et après cela, il va se coucher. Ensuite, le narrateur un peu intrigué demande directement au berger si c’est possible qu’il demeure chez lui pendant une journée de plus.

Sans commentaire, le berger accepte et reprend son chemin avec son sac de glands et son troupeau. Le narrateur décide alors de le suivre parallèlement pour bien observer ses intentions et ce qu’il compte faire avec ses glands.

L’homme qui plantait des arbres s’arrête un moment sur une clairière désertique et fait un trou ou il met le gland. Ensuite, il rebouche le trou. Ainsi, le narrateur arrive à suivre qu’Elzéard Bouffier fait planter des chênes. Il en plante cent. Engageant de nouveau la discussion, le narrateur apprend par la suite qu’Elzéard a planté ces arbres depuis trois ans.

En comptant, il en avait déjà planté près de cent mille arbres. Sur ces cent mille, il pense qu’il a perdu la moitié faute des rongeurs. Il affirme qu’auparavant, l’endroit était néant et c’est lui qui a fait pousser tous ces arbres. En effet, la passion de l’homme est donc la plantation des arbres. Avec une envie, de la volonté et un rêve, il consacre sa vie dans cette passion.

Tous les jours, L’homme qui plantait des arbres entreprend avec amour de planter des essences, des hêtres, des frênes, des érables et des bouleaux. Le lendemain, ayant compris le but précis du berger, le narrateur quitte enfin sa compagnie. Durant les quatre années dans les tranchées, le narrateur oublie l’existence d’Elzéard Bouffier.

En revanche, quand il décide de passer dans cette région pour une nouvelle randonnée, le souvenir du berger lui revient en voyant les poussées des arbres.
Il décide alors de le retrouver. L’homme qui plantait des arbres est également ravi de le rencontrer à nouveau. Les deux hommes sont devenus des amis proches. Le berger lui raconte qu’il a changé de travail. Il est devenu apiculteur. En fait, ses moutons sont une menace pour les plantations. Il lui fait alors visiter l’évolution de la forêt.

Une forêt impressionante…

La création d’Elzéard fait désormais trois kilomètres de largeur et onze kilomètres de longueur. Le narrateur est vraiment impressionné par ses œuvres et il pense que c’est une création divine, car tout est sorti de l’âme et des mains de cet homme sans l’aide de qui que ce soit et sans moyens techniques. Il comprend maintenant qu’un homme peut réaliser des choses incroyables avec sa pensée, sa motivation, sa vitalité et sa passion.

Le narrateur constate que la région a tellement changé, la reproduction des arbres est impressionnante. Les plantes poussent toutes seules et le vent disperse les graines. Toute la transformation de la contrée se fait si lentement que même la population ne s’en aperçoit pas.

Depuis 1920, le narrateur le rend visite régulièrement pour lui apporter un peu d’aide tant au niveau technique que financier. Pour lui, L’homme qui plantait des arbres mérite tout l’amour du monde et une aide au niveau financière et un accompagnement dans tous les domaines.

En 1933, L’homme qui plantait des arbres reçoit une visite d’un forestier qui n’est autre que l’ami du narrateur à qui il dévoile le secret de la forêt. Le forestier jure de bien conserver le mystère de la forêt. Il voit à travers Elzéard Bouffier, une personne heureuse dans sa passion, un homme amoureux des arbres. Pour accélérer son projet, L’homme qui plantait des arbress décide de fabriquer une grande maison pour vivre au milieu de la plantation.

Durant la Seconde Guerre, L’homme qui plantait des arbres décide de faire le commerce du bois du foret afin de produire du charbon de bois qui alimente toutes les voitures à gazogène. Toutefois, le projet est réussi, car la région est éloignée du circuit logistique. En juin 1945, le narrateur le revoit pour une dernière fois.

Ayant 87 ans, le berger continue encore sa reforestation. En effet, la région est devenue une vie à part entière, notamment le village où les habitants sont de plus en plus prospères, heureux et nombreux.

Toute la population doit leur satisfaction et bonheur à Elzéard Bouffier. En outre, pour le narrateur, l’abnégation et la générosité du berger font de lui, un homme de la patrie.

À l’hospice de Banon, Elzéard Bouffier est mort en 1947. Il laisse un héritage incroyable aux peuples de la région.

Le contexte du texte de Jean Giono

Le livre de Jean Giono L’homme qui plantait des arbres véhicule des significations. Le lecteur y ressent un sens humaniste. La dimension allégorique et parabolique a été mentionnée par Robert Ricatte et Pierre Citron, deux spécialistes de Giono. La morale du livre c’est l’altruisme à travers l’individualisme. Le récit de Jean Giono ressemble à une fable de la Fontaine avec une moralité.

L’homme qui plantait des arbres peut également avoir un sens biblique qui souligne « secours de Dieu ». Il insiste sur la dimension prophétique. Cette dimension se passe par la symbolique des chiffres associés aux plantations d’arbres.

Par ailleurs, le récit de Jean Giono L’homme qui plantait des arbres explique également l’apologie des entrepreneurs privés, individualistes et capitalistes. Les administrations qui visitent le foret sont en effet incapable de saisir la portée d’une action individuelle.

Selon Jean Giono, faire passer le message à un écologiste est toujours un contresens.

Bref, le Résumé de L’homme qui plantait des arbres est un récit passionnant et émouvant. En lisant le Résumé de L’homme qui plantait des arbres, vous pouvez tout connaître sur la personnalité et la vraie existantes du berger. Le message contenu dans le Résumé de L’homme qui plantait des arbres incite les gens à prendre part dans la plantation des arbres pour protéger l’environnement et la nature.

Pourquoi lire ce commentaire composé ?

Cette critique et présentation de Jean Giono est également une dissertation de L'homme qui plantait des arbres. Dans cette fiche de lecture de Jean Giono vous pourrez tout savoir sur l'histoire du récit, détaillé chapitre par chapitre. C'est également une lecture analytique complète de L'homme qui plantait des arbres qui est étudié au collège, lycée et bac de français. Cette lecture linéaire de Jean Giono permettra au lecteur d'être préparé pour l'examen et de tout savoir sur l'intrigue de L'homme qui plantait des arbres. Pour conclure, ce commentaire littéraire ne donne plus d'excuse pour ne pas maîtriser l'analyse du récit.

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